نقابة التعليم الثانوي تطالب بالتراجع عن الطريقة الجديدة
لتحيةالعلم
Tunisie : Le syndicat de l’enseignement secondaire refuse la nouvelle réforme
Selon nos confrères d’Assabah : le syndicat général de l’enseignement secondaire a demandé au ministère de l’éducation nationale l’annulation des décisions relative au salut du drapeau dans les salles de classe. La pratique adoptée jusque là, dans les lycées tunisiens, était de saluer le drapeau tous les matins dans les cours, tous les élèves devant être présents. La nouvelle réforme de l’enseignement secondaire impose que le salut soit effectué au sein des classes tout en étant accompagné de nouvelles hymnes.Le syndicat a également appelé les professeurs à refuser d’appliquer ces directives, les qualifiant de « formalité qui réduit le sens du patriotisme au changement de l’endroit, sans toutefois réaliser les objectifs pour lesquels elle a été décrétée, en plus de nuire à l’image de l’enseignant et à sa relation avec les élèves ».Le communiqué du syndicat a rappelé la nécessité « d’une révision de fond des programmes et des méthodes appliquées, et de revaloriser le savoir, ainsi que tout ce qui attrait à la patrie, notamment les valeurs sûres de la langue, car il s’agit-là de la véritable bonne méthode pour développer le sens patriotique des élèves et les enraciner dans leur environnement arabe ».
نقابة التعليم الثانوي تطالب بالتراجع عن الطريقة الجديدة Tunisie : Le syndicat de l’enseignement secondaire refuse la nouvelle réforme
Selon nos confrères d’Assabah : le syndicat général de l’enseignement secondaire a demandé au ministère de l’éducation nationale l’annulation des décisions relative au salut du drapeau dans les salles de classe. La pratique adoptée jusque là, dans les lycées tunisiens, était de saluer le drapeau tous les matins dans les cours, tous les élèves devant être présents. La nouvelle réforme de l’enseignement secondaire impose que le salut soit effectué au sein des classes tout en étant accompagné de nouvelles hymnes.
Le syndicat a également appelé les professeurs à refuser d’appliquer ces directives, les qualifiant de « formalité qui réduit le sens du patriotisme au changement de l’endroit, sans toutefois réaliser les objectifs pour lesquels elle a été décrétée, en plus de nuire à l’image de l’enseignant et à sa relation avec les élèves ».
Le communiqué du syndicat a rappelé la nécessité « d’une révision de fond des programmes et des méthodes appliquées, et de revaloriser le savoir, ainsi que tout ce qui attrait à la patrie, notamment les valeurs sûres de la langue, car il s’agit-là de la véritable bonne méthode pour développer le sens patriotique des élèves et les enraciner dans leur environnement arabe ».